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mardi, 30 décembre 2014

Victime noire, méchant policier blanc, avocat israélite, extrême gauche mobilisée : le Système rejoue Ferguson à Joué-lès-Tours

 

Publié par Guy Jovelin

« Il existe des versions contradictoires, des questions se posent. Nous voulons savoir si la version de la police est confirmée par les bandes des caméras de vidéosurveillance situées à l’extérieur et à l’intérieur du commissariat. J’espère que le dispositif de vidéosurveillance n’a pas malencontreusement été victime d’une défaillance technique. Ce serait curieux » a déclaré Jérémie Assous, l’avocat de la famille du terroriste islamiste Bertrand « Bilal » Nzohabonayo. Ce dernier a blessé plusieurs policiers à coups de couteau le lundi 20 décembre à Joué-lès-Tours après avoir pénétré dans le commissariat de la ville. Selon les policiers, il avait caché un couteau dans son dos. Il était suivi par une cellule spécialisée dans les cas de radicalisation et son frère était connu comme un islamiste dangereux.

Malgré cela la famille nie les motivations du jeune criminel. Cette famille d’étrangers venus du Burundi, qui est issue des classes « supérieures » de la société burundaise, s’est attaché les services du très médiatique avocat Jérémie Assous. Il prétend s’appuyer sur deux « témoins » qui affirment que le criminel étranger avait été impliqué dans une altercation avec des policiers peu avant l’attaque.

L’autopsie comme l’examen des blessures subies par les policiers a pourtant confirmé la version des fonctionnaires de police. Jérémie Assous, lui, s’appuie sur une mauvaise photo publiée sur internet… Il s’appuie également sur le témoignage de ses parents, dont la crédibilité transparaît avec les propos de sa mère :

« Bertrand a toujours été un bon garçon [NDJN : rappelons que le gentil garçon était connu pour de nombreux crimes et délits, dont extorsion, vols, recel et trafic de drogues]. Mais en tout cas, je ne le croisais jamais dans une tenue musulmane, ou avec la grande barbe qu’on lui voit en photo. Je ne peux même pas l’appeler Bilal, le prénom musulman qu’il s’était choisi » a-t-elle déclaré, niant jusqu’à la réalité de photos et son inversion à l’islam. Lire la suite

mardi, 04 novembre 2014

De Toulouse à Nantes : tous les casseurs d’extrême gauche relâchés

 

Publié par Guy Jovelin

Alors que Manuel Valls et son gouvernement tentent de ménager son extrême gauche sur le plan politique – Ségolène Royal a invité les opposants au barrage de Sivens à une vaste concertation – , la justice fait soudain preuve d’un laxisme extraordinaire. Alors que des Français ont fait plusieurs semaines de prison après leur arrestation arbitraire dans le cadre de la Manif pour tous, durant laquelle il n’y avait eu ni dégât, ni blessé, tous les – rares – casseurs d’extrême gauche arrêtés, qui ont commis d’innombrables crimes et délits ces derniers jours, ont été relâchés.

À Nantes, sur les 21 racailles interpellées samedi, aucune n’a été jugée en comparution immédiate. Sept ont fait l’objet d’un simple rappel à la loi et sept seront – devraient être – convoquées devant un tribunal correctionnel pour divers délits, mais aucun n’a été maintenu en détention avec que les faits retenus « outrages », « port d’armes » et « violences sur policiers » sont plus graves que ceux retenus contre des militants de LMPT qui ont fait plusieurs semaines de prison. Trois mineurs seront convoqués devant un juge pour enfants.

À Toulouse où de nombreux incendies criminels ont été perpétrés et où les violences ont fait plusieurs blessés, quatre extrémistes ont été jugés. Deux racailles qui ont caillassé des policiers ont écopé de six mois de prison, dont quatre avec sursis et quatre mois, dont trois avec sursis ; ils sont repartis libres du tribunal.

Un autre individu qui a reconnu avoir jeté des parpaings sur les policiers a obtenu le renvoi de son procès et devrait obtenir une peine encore plus clémente. Le quatrième individu jugé, qui portait une arme factice, a été relaxé.

Source

mercredi, 29 octobre 2014

Agitation après la mort d’un extrémiste sur le barrage de Sivens

 

Publié par Guy Jovelin

Depuis plusieurs mois, un mouvement de protestation est né contre un projet de barrage à Sivens, dans le sud-ouest. Un mouvement comme il en existe des milliers en France, mais qui a connu une particularité : sa politisation aussi rapide qu’extrême. Depuis longtemps, l’extrême gauche a su faire sa publicité en s’emparant de sujets de société, quittant la lutte aussitôt le sujet abandonné par les médias, la victoire obtenue ou non.

À Sivens, sur fond de « fronde » de gauche antigouvernementale, le barrage de Sivens est devenu symbolique, comme l’est le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. C’est pour cela qu’est mort un jeune homme de 21 ans samedi : de sordides règlements de compte à l’intérieur de la gauche. Loin de les avoir calmés, la mort de Rémi Fraisse a ragaillardi l’opposition au gouvernement.

Le cadavre du jeune extrémiste-chair à canon n’était pas encore froid que l’ancienne ministre Cécile Duflot se lançait dans la polémique et exigeait « l’arrêt immédiat des travaux sur le barrage du Sivens et la mise en place d’une enquête claire et précise sur les agissements des forces de l’ordre ». Delphine Batho avait prononcé des mots quasiment identiques.

Habitué à récupérer les cadavres, Jean-Luc Mélenchon a immédiatement saisi l’occasion pour renouveller ses attaques contre le gouvernement :

« [Il faut] arrêter la mise en œuvre de ce projet et que le débat puisse avoir lieu. La sagesse serait que les discussions reprennent. Et pourquoi pas en faire une sorte de référendum local lors des prochaines élections » a-t-il lancé, ramenant la mort d’un jeune Français à de vils intérêts électoraux et politiciens, rappelant l’abjecte instrumentalisation de l’extrême gauche de la mort d’une jeune racaille rouge en juin 2013 à Paris. Lire la suite

mercredi, 03 septembre 2014

François Hollande fête la rentrée en zone colonisée

Publié par Guy Jovelin

Une fois encore, pour fêter la rentrée scolaire 2014, François Hollande montre son mépris pour les Français et son action en faveur du génocide des Blancs et du remplacement du peuple français par les colons afro-maghrébins. Il s'est rendu ce matin au collège Louise-Michel de Clichy-sous-Bois pour cette « fête de la rentrée ». Il a réservé ces derniers mois ses sorties aux jeunes islamistes auprès de Jack Lang à l’Institut du monde arabe, aux jeunes des cités lors d’une rencontre dans un théâtre de banlieue avec Djamel Debouzze, ouvrant encore les jardins de l’Élysée aux seuls étrangers.

Le choix du collège Louise Michel n’est pas anodin, puisque cette franc-maçonne fut une militante d’extrême gauche au XIXe siècle. Le choix de la ville non plus : Clichy-sous-Bois fut le théâtre de violentes émeutes raciales en 2005, durant lesquelles trois Blancs avaient été assassinés par les colons.

Provocation dans la provocation, François Hollande était accompagné de Najat Belkacem.

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